LEOPARD Green 60x80cm leinwand
<< Neues Textfeld >>
DON QUIXOTE acryl auf leinwand
PORTRAITS...
AURA
The « Aura » of Romantic animal sculptors, or tigers from Douanier Rousseau and coloured symbolism of Odilon Redon can be also evoked through his acrylics.
The Belle Epoque is all contained in the volutes motif. The mind of the satirist Robert Crump, imagination of contemporay Comic Strips and ironic glossy of Murakami too through the characters coming from strips. Bruno Di Martino uses toys in the aim to recycle plastic of what as usual cannot be recycled but whatever in order to recycle symbolic values for making better the triviality of modern society.
And yet, as far away art critic can conceptualize several and relevant echoes between his work and other productions, the immemorial art that Bruno Di Martini shares with us is above all a single handed, solar and wild show.
-
Texts © Elise Walter / WE ART TOGETHER Gallery
- Photo of the artist © Bruno Di Martino
Ovidienne, la métamorphose devient un art de peindre comme de sculpter.
Gothique, son oeuvre sculptée en conserve la trace animale, le bestiaire sauvage, reptilien,
empreint de mysticisme.
Renaissance, l’ornementation végétale, facétieuse, recompose en creux le portrait du plus
grand portraitiste végétal de l’art ancien, le milanais Giuseppe Arcimboldo.
Trait immanent à la peinture d’Arcimboldo, mais également lecture Swiftienne du monde, un
univers est enclos en chaque détail peint ou sculpté sans trahir l’harmonie, homégénéité d’une
forme globale, esthétique, tendue, vibrante.
Il y a enfin de la grâce classique, du Farnèse et du Wagner dans la tension héroïque d’Univers
Morphose et du Labyrinthe de l’esprit. Une évocation sensible aux bronziers animaliers
romantiques, mais également l’Aura transcrit dans sa peinture d’un hommage exotique aux
Expositions Universelles et autres tigres du Douanier Rousseau. Une ode au Symbolisme
coloré d’un Odilon Redon, perceptible dans les acryliques de l’artiste.
Le meilleur de la Belle Epoque se lit dans le motif en volutes. La contemporanéité du Comics
Strip, la fantaisie de Murakami et un peu de la satire de Robert Crump dans l’usage disruptif
autant qu’écologique de figurines empruntées aux jouets et aux mangas qui donnent relief à la
chair des statues.
Par-dessus tout pourtant, résistant à la critique artistique, synchronique ou diachronique,
l’arbre de vie de sa création disparaît devant l’évidence ; que l’on constate la récurrence de
motifs connotant la force, communiant la vitalité de la chair et la complexité puissante de
l’esprit, aussi loin que l’on décrypte la forêt de symboles, le spectacle immémorial auquel
nous convie Bruno Di Martino s’impose en fauve, solaire et solitaire.
Une solitude toute relative. L’atelier de l’artiste, situé au sein du Tacheles, haut lieu de la
résistance culturelle détruit pendant la seconde guerre mondiale et dynamité dans les années
60, est une véritable plaque tectonique de la création berlinoise.
Alors, oeuvre oecuménique ? Résolument. Complaisante ? Pas du tout.
Etre à la ville comme au monde soucieux de l’Univers. Respecter le microcosme comme le
macrocosme pour vivre et créer. C’est peut être là le « bonus » moral de la sidérante leçon
d’Esthétique que nous administre en grand maître le peintre-sculpteur Bruno Di Martino.
- Texts © Elise Walter / WE ART TOGETHER Gallery
Es gibt da auch ein Ringen, einen Kampf um Harmonie, nicht nur in uns selbst, sondern
Auch in Hinblick auf die äußere, uns umgebende Welt und andere Menschen.
Bruno di Martino
DANCE
Jeder Körper ist sein eigenes Universum, eine Welt in sich. Permanent und unvermeidlich
Formt er sich selbst neu aus. In dem allgemeinen Schöpfungsprozess verwandelt sich jedes
Lebewesen auf seine eigene Weise.
Bruno di Martino
NAUTILUS INFINITAS MOVENS