Bruno di Martino
Univers Morphose –
Relief, Malerei, Formen
04.06.2014 - 12.09.2014
Galerie im Zeppelin, Öffnungszeiten: Mo-Fr, 9-22 Uhr
14471 Potsdam, Am Luftschiffhafen 1
Der französische Künstler, Bruno di Martino, lebt und arbeitet
in Berlin. Er ist Erzieher, Musiker, Schauspieler, Maler und
Bildhauer. Seine Werke bringen pure Kraft und Lebensfreude
zum Ausdruck. Alles scheint ineinander verschlungen,
auf mystische Art verwoben und verbunden zu sein.
Von Bildern und Skulpturen geht eine geheimnisvolle und
faszinierende Kraft aus, die inspirierend wirkt. Ihr Anblick ist
„allein schon aus ästhetischer Sicht [...] ein Genuss“. Bruno
di Martino sagt zu seiner Arbeitsweise: „Ich suche mich in
der Schöpfung. Suche Zugang zur Außenwelt. Einen mir
gemäßen Platz, an dem ich echt sein kann – nicht den,
der mir von der Gesellschaft zugewiesen wird.“
Der in Paris geborene Künstler ist mit seinen Werken auf
zahlreichen Schauen in Berlin, Wien, Düsseldorf und Paris
unterwegs. Unter anderem gestaltete di Martino den
„United Buddy Bear“ für Frankreich.
Bruno di Martino wurde mehrfach ausgezeichnet, zuletzt
im Jahr 2012 mit dem Prix du Public des Société Nationale
des Beaux-Arts (SNAB) Carrousel du Louvre in Paris.
Öffnungszeiten: Mo-Fr, 9-17 Uhr
Ostdeutscher Sparkassenverband
Leipziger Straße 51
von 27 Mars bis 1 juni 2014
Geboren in Chelles, Frankreich, habe ich Berlin zu meiner Wahlheimat gemacht. Hier wurde das Publikum erstmals mit meiner Ausstellung in der französischen Botschaft 1998 auf mich aufmerksam.
Weitere Expositionen folgten 2003 im Sony Center am Potsdamer Platz, Berlin, und 2004 in der Galerie Argentinierstrasse in Wien. 2007 und 2008 stellte ich in der Société Nationale des Beaux-Arts im Carrousel du Louvre und im Grand Palais de Paris aus.
Ein Projekt, das mir besonders am Herzen lag, war der Buddy Bear, den ich im Auftrag der französischen Botschaft 2006 schuf und der im Zuge der Weltournee der United Buddy Bears international bekannt wurde.
Di Martino, le renouveau d’Arcimboldo
Récompensé par le prix Baumel-Schwenck de sculpture du Carrousel du Louvre, médaillé
d’or au Grand concours International 2007, Paris, section Beaux-Arts, honoré du prix spécial
par la Société Nationale des Beaux-Arts, et du diplôme d’honneur en 2009, Bruno Di
Martino, peintre et bronzier européen, a su conquérir le marché de l’art.
Après avoir exposé dans des lieux prestigieux, au Grand Palais par exemple, ainsi que dans
différentes galeries européennes (Berlin, Paris…), Bruno di Martino rejoint notre galerie. Ses
oeuvres sont en outre présentes dans les plus grandes entreprises internationales.
Au-delà des honneurs mérités, c’est l’incommensurable vitalité créatrice de son oeuvre, hors
norme autant qu’intemporelle, qu’il nous tient à coeur de mettre en lumière.
Arcimboldo contemporain, coloriste d’exception, son oeuvre s’origine à plusieurs influences
transversales dans leur chronicité :
Ovidienne, la métamorphose devient un art de peindre comme de sculpter.
Gothique, son oeuvre sculptée en conserve la trace animale, le bestiaire sauvage, reptilien,
empreint de mysticisme.
Renaissance, l’ornementation végétale, facétieuse, recompose en creux le portrait du plus
grand portraitiste végétal de l’art ancien, le milanais Giuseppe Arcimboldo.
Trait immanent à la peinture d’Arcimboldo, mais également lecture Swiftienne du monde, un
univers est enclos en chaque détail peint ou sculpté sans trahir l’harmonie, homégénéité d’une
forme globale, esthétique, tendue, vibrante.
Il y a enfin de la grâce classique, du Farnèse et du Wagner dans la tension héroïque d’Univers
Morphose et du Labyrinthe de l’esprit. Une évocation sensible aux bronziers animaliers
romantiques, mais également l’Aura transcrit dans sa peinture d’un hommage exotique aux
Expositions Universelles et autres tigres du Douanier Rousseau. Une ode au Symbolisme
coloré d’un Odilon Redon, perceptible dans les acryliques de l’artiste.
Le meilleur de la Belle Epoque se lit dans le motif en volutes. La contemporanéité du Comics
Strip, la fantaisie de Murakami et un peu de la satire de Robert Crump dans l’usage disruptif
autant qu’écologique de figurines empruntées aux jouets et aux mangas qui donnent relief à la
chair des statues.
Par-dessus tout pourtant, résistant à la critique artistique, synchronique ou diachronique,
l’arbre de vie de sa création disparaît devant l’évidence ; que l’on constate la récurrence de
motifs connotant la force, communiant la vitalité de la chair et la complexité puissante de
l’esprit, aussi loin que l’on décrypte la forêt de symboles, le spectacle immémorial auquel
nous convie Bruno Di Martino s’impose en fauve, solaire et solitaire.
Une solitude toute relative. L’atelier de l’artiste, situé au sein du Tacheles, haut lieu de la
résistance culturelle détruit pendant la seconde guerre mondiale et dynamité dans les années
60, est une véritable plaque tectonique de la création berlinoise.
Alors, oeuvre oecuménique ? Résolument. Complaisante ? Pas du tout.
Etre à la ville comme au monde soucieux de l’Univers. Respecter le microcosme comme le
macrocosme pour vivre et créer. C’est peut être là le « bonus » moral de la sidérante leçon
d’Esthétique que nous administre en grand maître le peintre-sculpteur Bruno Di Martino. Di Martino, le renouveau d’Arcimboldo
Récompensé par le prix Baumel-Schwenck de sculpture du Carrousel du Louvre, médaillé
d’or au Grand concours International 2007, Paris, section Beaux-Arts, honoré du prix spécial
par la Société Nationale des Beaux-Arts, et du diplôme d’honneur en 2009, Bruno Di
Martino, peintre et bronzier européen, a su conquérir le marché de l’art.
Après avoir exposé dans des lieux prestigieux, au Grand Palais par exemple, ainsi que dans
différentes galeries européennes (Berlin, Paris…), Bruno di Martino rejoint notre galerie. Ses
oeuvres sont en outre présentes dans les plus grandes entreprises internationales.
Au-delà des honneurs mérités, c’est l’incommensurable vitalité créatrice de son oeuvre, hors
norme autant qu’intemporelle, qu’il nous tient à coeur de mettre en lumière.
Arcimboldo contemporain, coloriste d’exception, son oeuvre s’origine à plusieurs influences
transversales dans leur chronicité :
Ovidienne, la métamorphose devient un art de peindre comme de sculpter.
Gothique, son oeuvre sculptée en conserve la trace animale, le bestiaire sauvage, reptilien,
empreint de mysticisme.
Renaissance, l’ornementation végétale, facétieuse, recompose en creux le portrait du plus
grand portraitiste végétal de l’art ancien, le milanais Giuseppe Arcimboldo.
Trait immanent à la peinture d’Arcimboldo, mais également lecture Swiftienne du monde, un
univers est enclos en chaque détail peint ou sculpté sans trahir l’harmonie, homégénéité d’une
forme globale, esthétique, tendue, vibrante.
Il y a enfin de la grâce classique, du Farnèse et du Wagner dans la tension héroïque d’Univers
Morphose et du Labyrinthe de l’esprit. Une évocation sensible aux bronziers animaliers
romantiques, mais également l’Aura transcrit dans sa peinture d’un hommage exotique aux
Expositions Universelles et autres tigres du Douanier Rousseau. Une ode au Symbolisme
coloré d’un Odilon Redon, perceptible dans les acryliques de l’artiste.
Le meilleur de la Belle Epoque se lit dans le motif en volutes. La contemporanéité du Comics
Strip, la fantaisie de Murakami et un peu de la satire de Robert Crump dans l’usage disruptif
autant qu’écologique de figurines empruntées aux jouets et aux mangas qui donnent relief à la
chair des statues.
Par-dessus tout pourtant, résistant à la critique artistique, synchronique ou diachronique,
l’arbre de vie de sa création disparaît devant l’évidence ; que l’on constate la récurrence de
motifs connotant la force, communiant la vitalité de la chair et la complexité puissante de
l’esprit, aussi loin que l’on décrypte la forêt de symboles, le spectacle immémorial auquel
nous convie Bruno Di Martino s’impose en fauve, solaire et solitaire.
Une solitude toute relative. L’atelier de l’artiste, situé au sein du Tacheles, haut lieu de la
résistance culturelle détruit pendant la seconde guerre mondiale et dynamité dans les années
60, est une véritable plaque tectonique de la création berlinoise.
Alors, oeuvre oecuménique ? Résolument. Complaisante ? Pas du tout.
Etre à la ville comme au monde soucieux de l’Univers. Respecter le microcosme comme le
macrocosme pour vivre et créer. C’est peut être là le « bonus » moral de la sidérante leçon
d’Esthétique que nous administre en grand maître le peintre-sculpteur Bruno Di Martino. Di Martino, le renouveau d’Arcimboldo
Récompensé par le prix Baumel-Schwenck de sculpture du Carrousel du Louvre, médaillé
d’or au Grand concours International 2007, Paris, section Beaux-Arts, honoré du prix spécial
par la Société Nationale des Beaux-Arts, et du diplôme d’honneur en 2009, Bruno Di
Martino, peintre et bronzier européen, a su conquérir le marché de l’art.
Après avoir exposé dans des lieux prestigieux, au Grand Palais par exemple, ainsi que dans
différentes galeries européennes (Berlin, Paris…), Bruno di Martino rejoint notre galerie. Ses
oeuvres sont en outre présentes dans les plus grandes entreprises internationales.
Au-delà des honneurs mérités, c’est l’incommensurable vitalité créatrice de son oeuvre, hors
norme autant qu’intemporelle, qu’il nous tient à coeur de mettre en lumière.
Arcimboldo contemporain, coloriste d’exception, son oeuvre s’origine à plusieurs influences
transversales dans leur chronicité :
Ovidienne, la métamorphose devient un art de peindre comme de sculpter.
Gothique, son oeuvre sculptée en conserve la trace animale, le bestiaire sauvage, reptilien,
empreint de mysticisme.
Renaissance, l’ornementation végétale, facétieuse, recompose en creux le portrait du plus
grand portraitiste végétal de l’art ancien, le milanais Giuseppe Arcimboldo.
Trait immanent à la peinture d’Arcimboldo, mais également lecture Swiftienne du monde, un
univers est enclos en chaque détail peint ou sculpté sans trahir l’harmonie, homégénéité d’une
forme globale, esthétique, tendue, vibrante.
Il y a enfin de la grâce classique, du Farnèse et du Wagner dans la tension héroïque d’Univers
Morphose et du Labyrinthe de l’esprit. Une évocation sensible aux bronziers animaliers
romantiques, mais également l’Aura transcrit dans sa peinture d’un hommage exotique aux
Expositions Universelles et autres tigres du Douanier Rousseau. Une ode au Symbolisme
coloré d’un Odilon Redon, perceptible dans les acryliques de l’artiste.
Le meilleur de la Belle Epoque se lit dans le motif en volutes. La contemporanéité du Comics
Strip, la fantaisie de Murakami et un peu de la satire de Robert Crump dans l’usage disruptif
autant qu’écologique de figurines empruntées aux jouets et aux mangas qui donnent relief à la
chair des statues.
Par-dessus tout pourtant, résistant à la critique artistique, synchronique ou diachronique,
l’arbre de vie de sa création disparaît devant l’évidence ; que l’on constate la récurrence de
motifs connotant la force, communiant la vitalité de la chair et la complexité puissante de
l’esprit, aussi loin que l’on décrypte la forêt de symboles, le spectacle immémorial auquel
nous convie Bruno Di Martino s’impose en fauve, solaire et solitaire.
Une solitude toute relative. L’atelier de l’artiste, situé au sein du Tacheles, haut lieu de la
résistance culturelle détruit pendant la seconde guerre mondiale et dynamité dans les années
60, est une véritable plaque tectonique de la création berlinoise.
Alors, oeuvre oecuménique ? Résolument. Complaisante ? Pas du tout.
Etre à la ville comme au monde soucieux de l’Univers. Respecter le microcosme comme le
macrocosme pour vivre et créer. C’est peut être là le « bonus » moral de la sidérante leçon
d’Esthétique que nous administre en grand maître le peintre-sculpteur Bruno Di Martino.
- Texts © Elise Walter / WE ART TOGETHER Gallery
The bronze statue „Labyrinthe de l esprit”, which was put on display at
the Carrousel du Louvre in 2006, is enveloped by an aura of strength as
well as one of vulnerability – a paradigmatic representation of Bruno di
Martinos current artistic phase. The intimacy of his earlier works has
given way to a critical dispute with the modern world. The artist deals
with metamorphoses; not natural processes but rather the deformative and
destructive influences determined by society. His oeuvre shows us modern
man, whose fears and traumas reflect the mercilessness of a society
focused on profit, and whose longings and hopes are the result of
influence by mass media.
Whereas Bruno di Martino used the relief cycle “Les corps separs” to
address mans inner conflicts, his extremely colourful new paintings are
characterised by joie de vivre, sensuality and beauty; he loves
antagonisms and likes to combine a variety of visual elements such as the
heroic forms of antiquity and characters from comics. In doing so he looks
for hidden similarities, creating unexpected coherences. He plays with
terminology: His own, technologically complicated, creative and pigment
coating processes serve to enable this autodidact to newly interpret the
ephemeral phenomena of our consumer society and to transform them into the
constituent parts of unique and enduring works of art. His fascination
with the stylistic design potential provided by ornaments encourages di
Martino to reach for arabesques and weaving lines, both when painting and
sculpting. His ornaments, whether in the form of atmospheric vortices or
mysterious root systems, encase or overrun the background of his pictures
and the figures within, creating the organic and vital framework for his
compositions. The result is his own, unmistakeable artistic signature, the
invisible melody of his art. In 2007 Bruno di Martino, whose works have
been shown in numerous exhibitions both in Germany and elsewhere, will
participate, amongst others, in UNICEF projects in Cairo, Jerusalem and
Sao Paulo.
RAISONNANCE<< Neues Textfeld >>
le soir est un monde de melange moleculaire, avec la transe de la fatigue et l excitation du passage à l autre monde ouvre des portes remplis d herotisme... Le cocoon en est une - brillant luisante .. invitation reflexe obstentatoire , exploration dans la fente du cocoon premier segment , deuxieme segment ainsi de suite , chaque segment est un monde qui en ouvre un autre puis un autre invitation glissante .. il faut freiner car il ne faut rien n´oublier, chaque jour est un autre monde – l exploration innexorable , la riviere est au bout luisante – brillante luisante << Neues Textfeld >>
Combat de nuit , mon corps se ferme tous rentre rien ne ressort emprisonner
L ´herbe est douce sous le grillage , passage difficile vers la caresse
Accrocher par les mailles retour a l aphyxie ventre gonflé ,pression de l interrieur ..sortir
Rouler sur l ´herbe douce odeur du commencement de tout frisson sur mon corps caresse
La nuit est lá profonde lourde de lumiere de flash brouillant l espoir de se liberer...
Caresse salée levres roulant laissant une trainee de rosé hermaphrodite muscle bandée , pression libre..
En bas de la colline le lagon bleu vert vagues roulantes emrobante comme tes levres qui se jette avec puissance et retenue humide de vie.. sur le rivage doux du corps celestre chaque millimetre est entourer rien rien n ai laisser tous est effuves sales..
La nuit est belle elle caresse nos ames , liberés ..
Je respire…
RETOUR SUR TERRE<< Neues Textfeld >>
retour à la terre
>>A travers la brume d´un reve qui se léve avec l aurore qui dépose une fine couche d´humiditée
>>j ouvre les yeux coller par les effluves saler de l aventure de la nuit , essaye de retrouver les mondes visiter
>>comme un code bien précis pour acceder au monde parrallele , des couleurs disposer dans un ordre qui se melange
>>donnent la lumiere , la part d´ombre et les sensations qui se connecte et qui ouvres les portes , les mains cherches avec l aide des doigts, passe a travers du tissus fin comme de la peau et
parle avec elle.. et trouve ... l aurore humide electrique qui reveille la vie .. ou le code..
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